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Même plus besoin de sortir de sa voiture
En Côte d'Ivoire, les missions militaires et humanitaires sont devenues capitales pour la légion étrangère. Sur un terrain où le danger peut surgir de partout, les légionnaires doivent opérer en partenariat avec l'armée Ivoirienne dans le but de protéger la paix. Suivez-nous sur les réseaux : Facebook : https://www.facebook.com/InvestigationsEnquetes
Vous n'allez pas regretter #shortsyoutube #shortsvideo #shortsfeed #investigation
Le scandale de l'évasion fiscale, révélations sur les milliards qui nous manquent Réalisé par Edouard Perrin
Cohésion au bain de boue #shortsyoutube #shortsvideo #shortsfeed
Qui est vraiment le Hezbollah ? Comment ses soldats s'entrainent-ils ? Jusqu'où iront leurs croyances et leurs convictions pour combattre les forces israéliennes ? Enquête au cœur des cellules du Hezbollah.
A 4ans, c'est un paquet par jour ???? #shorts
Une chasse à courre, ça se prépare #short C'est la tradition chez les aristo
Spécialisée dans les interventions en pleine mer, la 32ᵉ section ne connait pas de répits. Nous embarquons aux côtés de ces soldats aguerris. Suivez-nous sur les réseaux : Facebook : https://www.facebook.com/InvestigationsEnquetes
20 years after the end of apartheid, South Africa remains a country marked by racial division. Shortly after the death of Nelson Mandela on December 5, 2013, director Stéphanie Lamorré filmed for several weeks the commitment of young people born after 1994, called the “Born Free”. They were preparing to vote for the first time in the presidential election in May 2014. For some, Mandela is a distant memory, for others an icon. But they all talk about freedom and democracy. However, behind the hope, there is the failure of a society where whites and blacks still do not mix. An intimate and endearing film about this new generation of South Africans. Director: Stéphanie Lamorré
Quand ta camera n'est pas bienvenue ???? #shorts
Le protocole Média #shorts
Après des années de conflit, la capitale du Liban attire à nouveau les touristes et elle est devenue le point de ralliement de la jet-set moyen-orientale. Après la guerre, Tony Salamé a racheté à bas prix les immeubles bombardés du centre-ville. Ses emplacements, au cœur d'un quartier ultra-sécurisé, sont aujourd'hui convoités par les plus grandes marques. Une situation qui contraste avec le sud de la ville, contrôlé par le Hezbollah. L'organisation politique a recruté de nombreux sympathisants parmi les victimes de la guerre, notamment en finançant la reconstruction de logements.
Seul l'homme peut divorcer #shorts
Barack Obama est-il en train de devenir le prix Nobel de la paix le plus meurtrier de l’Histoire ? D’ores et déjà, le Président démocrate restera comme le chef d’État américain qui a fait des drones la pièce maitresse de la guerre contre le terrorisme aux États-Unis. Les réalisateurs Benoît Bringer et Jean-Baptiste Renaud se sont rendus au Yémen et au Pakistan, les pays les plus frappés par les drones, pour enquêter sur le vrai visage du programme de drones. Ils sont allés dans les zones extrêmement dangereuses où tombent les missiles américains, à la rencontre des victimes invisibles des drones : des civils innocents, parmi lesquels on trouve des femmes et des enfants. Là, ils ont découvert la réalité cachée des frappes de drones. Très loin du discours de Washington qui affirme que les drones permettent des tirs chirurgicaux sans victimes civils, les images qu’ils ont rapportées dressent le vrai visage de la « guerre chirurgicale » d’Obama. Ils ont également eu un accès rare à une base militaire américaine au Nouveau-Mexique où s’entrainent les pilotes de drones. Benoît Bringer et Jean-Baptiste Renaud ont aussi pu s’entretenir avec de hauts responsables des Administrations Bush et Obama sur ce sujet. Leur document qui contient des témoignages forts et exclusifs, montre que cette guerre à distance s’exerce en dehors de toute base légale. Grâce à l’aide de reporters locaux et d’ONG, les réalisateurs sont parvenus à documenter plusieurs cas où les frappes des drones ont tué des civils. C’est le cas dans le petit village de Kawell, à 35 kilomètres à l’Est de la capitale Sana’a. En janvier 2013, en visant un responsable local d’Al-Qaïda, un drone américain y a tué Salim, 21 ans, un étudiant et Ali, 31 ans qui était professeur de langue arabe dans l’école du village. Leurs familles, inconsolables, ont rassemblé de nombreuses preuves de leur innocence. Le ministère de l’Intérieur Yéménite a même diligenté une enquête sur cette frappe. Elle a conclu à l’innocence des deux victimes. À Kawel, les drones ont bel et bien commis une bavure, bien loin de la « guerre propre » vantée par l’administration Obama. Mais c’est au Pakistan, où les drones pilonnent les zones tribales du Nord-Ouest du pays depuis 2004, que le bilan des victimes civiles est le plus lourd. Selon la Cour de justice de Peshawar, 3000 personnes auraient été tuées par des drones depuis 2004. Parmi eux, il y aurait une immense majorité de civils. C’est du moins ce que cherche à prouver Shazad Akbar, un avocat pakistanais qui défend plusieurs familles dont certains membres ont été tués ou blessés par des drones américains. En fait, selon plusieurs sources interrogées par les réalisateurs, les États-Unis ne savent pas, la plupart du temps, qui ils tuent au Pakistan. Le plus souvent, les frappes de drones sont des « frappes signatures » qui désignent comme une cible légitime, tout homme ou groupe d’hommes en âge de servir l’armée, possédant des armes et/ou se déplaçant dans un véhicule. Au Pakistan et au Yémen, le film questionne également la pertinence du choix de cette stratégie basée sur les drones. Car selon plusieurs experts interviewés, la mort de civils dans des frappes de drones contribuerait à renforcer les mouvements comme Al-Qaïda et créerait un sentiment de vengeance, de ressentiment envers les États-Unis. À cause de leurs frappes de drones, les Américains seraient alors en train de créer les terroristes de demain. Réalisateur : Benoit Bringer, Jean Baptiste Renauc
Ils doivent rester immobile 11h par jour
Découpez-les en morceaux
À 3 heures de vol de Paris, la Lettonie a vu sa capitale, Riga, devenir la nouvelle destination des touristes S***. Tout son centre-ville historique a été colonisé par les salons de massage. La pauvreté de cette République Balte, où le salaire moyen ne dépasse pas les 300 euros, explique en partie ces dérives. Des tour-opérateurs se sont multipliés pour proposer des séjours "défouloirs" à prix cassés. Sur place, les habitants vivent de plus en plus mal le fait que leur capitale soit considérée comme la nouvelle destination du tourisme sexuel des Européens. Réalisé par Alexis Veller
Proud Boys : L'extrême droite Trumpiste !#shorts
Ce n'est pas un meurtre, c'est pire…